24 décembre 2007
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Le même rituel, inlassablement ou presque.
Tout commence vers 19h. On ne mets plus la table dans le salon, et on n'allume plus la télé dans la cuisine. Il parait que ça tue l'ambiance.
On se donne les cadeaux tout de suite. Il y a longtemps, on s'interrogeait sur le fait d'attendre la fin du repas, voire Noël, à minuit. Mais rapidement, personne n'envisageait de prolonger la soirée jusque là.
La boite de 100 boules pralinés accompagnée de son (petit) billet arrive donc tout de suite.
Et le menu invariable peut commencer.
Le foie gras et le saumon fumé en entrée, selon qu'on aime l'écoeurant ou la marée. Le tout accompagné de toasts, on a sorti le grille-pain pour l'occasion.
La mère commence à s'agiter dans tous les sens. Pas le temps de se poser, il faut faire le service. Rapidement tombera un "mais arrête donc, on n'est pas pressé, c'est Noël". Quasiment la même excuse qui servira à la présence des chiens sous la table: "Pour eux aussi, c'est Noël.".
Ensuite, enchaînement de volaille aux marrons, plateau fromage, buche au beurre et au café.
Bourrage d'estomac avant d'aller comater devant la télé, en espérant un dessin animé d'Asterix en attendant les bêtisiers.
Le point culminant de 5 jours d'inexistence cérébrale, bruxelloise, bancaire et mondiale. Cinq jours pour la même heure et demi que tous les ans.
Tout commence vers 19h. On ne mets plus la table dans le salon, et on n'allume plus la télé dans la cuisine. Il parait que ça tue l'ambiance.
On se donne les cadeaux tout de suite. Il y a longtemps, on s'interrogeait sur le fait d'attendre la fin du repas, voire Noël, à minuit. Mais rapidement, personne n'envisageait de prolonger la soirée jusque là.
La boite de 100 boules pralinés accompagnée de son (petit) billet arrive donc tout de suite.
Et le menu invariable peut commencer.
Le foie gras et le saumon fumé en entrée, selon qu'on aime l'écoeurant ou la marée. Le tout accompagné de toasts, on a sorti le grille-pain pour l'occasion.
La mère commence à s'agiter dans tous les sens. Pas le temps de se poser, il faut faire le service. Rapidement tombera un "mais arrête donc, on n'est pas pressé, c'est Noël". Quasiment la même excuse qui servira à la présence des chiens sous la table: "Pour eux aussi, c'est Noël.".
Ensuite, enchaînement de volaille aux marrons, plateau fromage, buche au beurre et au café.
Bourrage d'estomac avant d'aller comater devant la télé, en espérant un dessin animé d'Asterix en attendant les bêtisiers.
Le point culminant de 5 jours d'inexistence cérébrale, bruxelloise, bancaire et mondiale. Cinq jours pour la même heure et demi que tous les ans.