29 mai 2007
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15:08
Me semble qu'aujourd'hui, c'est la fête du voisinage. En tout cas en France, sûr. Je ne sais pas si ça se fait ici. En même temps, c'est pas comme si je portais un intérêt particulier à les connaître. Je crois qu'on peut même affirmer que je m'en fous. Comme disait le poête: chacun sa merde. Faudrait juste qu'elle déborde pas sur mon paillasson.
Quand j'étais étudiant, j'avais pour voisin deux gros fêtards, qui avaient absolument tenu à ce qu'on se fasse une soirée entre gens du même étage. Après tout, pourquoi pas, on était étudiant, c'est le temps des expériences, tout ça. Mais bon, quand on a commencé à me demander si je les connaissais, parce qu'ils faisaient du bruit, voire s'improvisaient un concert à la guitare électrique bien saturée à 5h du mat', j'ai laché un peu l'affaire. Surtout quand ils sont venu se plaindre chez moi qu'un mec bourré les avait réveillés une veille d'exam. Le pauvre imbibé avait indiqué la porte la plus proche comme provenance et comme excuse, et forcément, ça me retombait dessus alors que j'avais à l'époque un appart totalement sans alcool, ce qui est rare pour un étudiant (vous pouvez respirer des yeux). Ils auraient pourtant pu se plaindre des gens des étages inférieurs qui gueulaient parce qu'ils descendaient en rappel sur leurs fenêtres. Ou alors des rabats-joie qui se plaignaient qu'ils balançaient leurs poubelles pleines de cadavres de bière du 2ème étage. Voire même du mec complètement drogué qui jouait de la basse dehors complètement à poil, les soirs d'approvisionnement en provenance des Pays-bas. Mais non, je les avais apparement tellement marqués que 6 mois après mon départ, ils se plaignaient encore que je pissais dans l'escalier à la pleine lune.
Là où je suis, je n'ai plus ce genre de problème. Bien sur, mes voisins actuels font parfois la fête, laissent leurs poubelles dans l'escalier en attendant le jour du ramassage, s'amusent à me faire peur quand j'ouvre la porte de l'immeuble ou me demandent d'éviter de parler dans l'escalier parce que la chambre du petit est contre la paroi des parties communes (expirez...). Mais au moins, ils ne viennent pas m'emmerder pour fêter le voisinage, et c'est déjà pas mal.
Quand j'étais étudiant, j'avais pour voisin deux gros fêtards, qui avaient absolument tenu à ce qu'on se fasse une soirée entre gens du même étage. Après tout, pourquoi pas, on était étudiant, c'est le temps des expériences, tout ça. Mais bon, quand on a commencé à me demander si je les connaissais, parce qu'ils faisaient du bruit, voire s'improvisaient un concert à la guitare électrique bien saturée à 5h du mat', j'ai laché un peu l'affaire. Surtout quand ils sont venu se plaindre chez moi qu'un mec bourré les avait réveillés une veille d'exam. Le pauvre imbibé avait indiqué la porte la plus proche comme provenance et comme excuse, et forcément, ça me retombait dessus alors que j'avais à l'époque un appart totalement sans alcool, ce qui est rare pour un étudiant (vous pouvez respirer des yeux). Ils auraient pourtant pu se plaindre des gens des étages inférieurs qui gueulaient parce qu'ils descendaient en rappel sur leurs fenêtres. Ou alors des rabats-joie qui se plaignaient qu'ils balançaient leurs poubelles pleines de cadavres de bière du 2ème étage. Voire même du mec complètement drogué qui jouait de la basse dehors complètement à poil, les soirs d'approvisionnement en provenance des Pays-bas. Mais non, je les avais apparement tellement marqués que 6 mois après mon départ, ils se plaignaient encore que je pissais dans l'escalier à la pleine lune.
Là où je suis, je n'ai plus ce genre de problème. Bien sur, mes voisins actuels font parfois la fête, laissent leurs poubelles dans l'escalier en attendant le jour du ramassage, s'amusent à me faire peur quand j'ouvre la porte de l'immeuble ou me demandent d'éviter de parler dans l'escalier parce que la chambre du petit est contre la paroi des parties communes (expirez...). Mais au moins, ils ne viennent pas m'emmerder pour fêter le voisinage, et c'est déjà pas mal.