6 juin 2008
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22:50
Long week-end, et je n'en suis qu'à la moitié. Alors que j'ai l'impression de glander depuis une semaine, je me rends compte que ces 3 jours ont été culturellement chargés. Et tant mieux, parce que si on prend en compte le quotidien, c'est pas forcément folichon. Entre un squatteur qui se barricade dans mon appart, la doctoresse qui me conseille de perdre du poids, les devis de déménagements hors de prix et pas assez de temps avec ma blonde, je ne sais pas ce que je dois prendre le plus mal. Sachant que tout ces trucs se règleront tous seuls en leur temps. Du moins, j'espère.
Mais bon, un bon concert qui ne tue pas les oreilles et fait perdre 3 litres d'eau est toujours un bon concert. Même si quelques cons ont jugé bon d'envahir la fosse en oubliant de se vanter qu'ils avaient payé des places plus chères pour être dans les gradins. Retardant du même coup l'apparition des stars (40 min après la première partie). Mais c'était bon. C'était court, certes, mais uniquement sur le papier. Parce qu'en intensité, il y avait ce qu'il fallait pour contenter le plus rabat-joie des membres de la confrérie joyeuse des comptables d'entreprise. Rage against the machine, c'est du bon, vous pouvez y aller.
Je profite aussi de ces quelques jours pour me finir Deadwood. Une série en 3 saisons, un western sur un terrain volé aux indiens en attendant l'annexion. Avec des gueules, des molards, de la sueur, du sang, de la boue, des prostiputes et du cocksucker à tour de bras. Et avec plein de noms connus de légendes de l'ouest. Plus qu'à m'attaquer à Weeds et à la saison 6 de Scrubs.
Et puis, il y a eu Jean-Claude. Profitant de ma descente parisienne pour voir LE film, qui, chose étrange, ne sort que dans 2 semaines en Belgique alors qu'il y a été tourné, j'ai pu admirer la reconversion de Jean-Claude. Alors pour l'histoire, c'est pas dur. Le film est son propre sujet. Jean-Claude Van Damme, movie star, un peu déchue, vieillissant. Il retrouve ses racines pour se ressourcer. Voire se reposer des problèmes qui lui restent encore sur la tête, comme pouvoir garder sa fille. Un film sur la grosse tête, les préjugés, les castes, les racines, la renaissance... Et comme le teaser le laissait supposer, Jean-Claude sort de son image. Ce film est exactement ce à quoi Jean-Claude, le personnage, aspire: une seconde chance. Et j'espère bien qu'on lui on en proposera d'autres après ça car il faut le dire: il est beau. Mais en même temps, comment a-t-on pu en douter? Après tout, Jean-Claude est belge.
Mais bon, un bon concert qui ne tue pas les oreilles et fait perdre 3 litres d'eau est toujours un bon concert. Même si quelques cons ont jugé bon d'envahir la fosse en oubliant de se vanter qu'ils avaient payé des places plus chères pour être dans les gradins. Retardant du même coup l'apparition des stars (40 min après la première partie). Mais c'était bon. C'était court, certes, mais uniquement sur le papier. Parce qu'en intensité, il y avait ce qu'il fallait pour contenter le plus rabat-joie des membres de la confrérie joyeuse des comptables d'entreprise. Rage against the machine, c'est du bon, vous pouvez y aller.
Je profite aussi de ces quelques jours pour me finir Deadwood. Une série en 3 saisons, un western sur un terrain volé aux indiens en attendant l'annexion. Avec des gueules, des molards, de la sueur, du sang, de la boue, des prostiputes et du cocksucker à tour de bras. Et avec plein de noms connus de légendes de l'ouest. Plus qu'à m'attaquer à Weeds et à la saison 6 de Scrubs.
Et puis, il y a eu Jean-Claude. Profitant de ma descente parisienne pour voir LE film, qui, chose étrange, ne sort que dans 2 semaines en Belgique alors qu'il y a été tourné, j'ai pu admirer la reconversion de Jean-Claude. Alors pour l'histoire, c'est pas dur. Le film est son propre sujet. Jean-Claude Van Damme, movie star, un peu déchue, vieillissant. Il retrouve ses racines pour se ressourcer. Voire se reposer des problèmes qui lui restent encore sur la tête, comme pouvoir garder sa fille. Un film sur la grosse tête, les préjugés, les castes, les racines, la renaissance... Et comme le teaser le laissait supposer, Jean-Claude sort de son image. Ce film est exactement ce à quoi Jean-Claude, le personnage, aspire: une seconde chance. Et j'espère bien qu'on lui on en proposera d'autres après ça car il faut le dire: il est beau. Mais en même temps, comment a-t-on pu en douter? Après tout, Jean-Claude est belge.