27 mars 2008
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10:19
Il y a des jours où on se dit qu'il faut faire un pitit peu plus. Aider son prochain, ou en l'occurence sa prochaine, c'est à la portée de tous. Ce matin, j'ai fait un pari. Un pari sur l'ennui, ça se respecte. Et comme les termes du pari sont restés vagues, je me permets de faire appel à toi, lecteur, à qui je n'ai jamais trop rien demandé jusqu'à présent. Fais moi un peu plaisir pour une fois, tu vas voir, ça va te plaire.
Ce matin, au détour d'une conversation avec Cécile, on s'est rendu compte, enfin plutôt, elle a avoué qu'elle n'avait personne à qui parler en direct dans son coin. Pas une pote, personne avec qui dire du mal des militaires du coin, rien. Pour rappel, c'est la même Cécile qui s'amusait ici même à poster des pitites annonces pour essayer de me faire rencontrer des gens dehors. La même aussi qui m'a imposé (si si) dans mes résolutions de nouvel an, de rencontrer au moins un gens de Bruxelles en 2008. Résolution que j'ai d'ailleurs tenue (coucou Marina et Agota) et que je m'en porte pas plus mal.
Alors voilà, je trouve ça un peu gonflé de réclamer aux autres de lacher un peu leur peau d'ours (sans le tuer, de préférence) alors qu'elle s'enferme dans sa grotte. Bon, ok, elle a une grotte toute neuve à aménager, elle s'amuse à d&co, tout ça, d'accord. Mais n'empêche qu'elle a personne avec qui baver sur ses feignasses de momes, avec qui faire une pétanque ou un macramé. En vrai hein. Parce que bon, le téléphone ou le web, c'est bien beau, mais ça ralentit fortement la production du macramé breton.
Donc voilà, toi ami lecteur, si tu habites en Bretagne, si t'as envie d'une nouvelle amie, n'hésite pas à aller lui causer. Tu verras, elle est gentille, elle aime le café. Elle peut te montrer la statue d'un pape mort, ou te raconter sa folle jeunesse avec Phil Barney. Elle peut même te montrer les macramés en terre qu'elle sculpte. Et je suis sûr qu'elle ne te jugera pas quand tu lui raconteras ta passion de la discussion avec les arbres. Accessoirement, ça te fera toujours quelqu'un de bien à aller voir et j'aurai gagné mon pari.
Ce matin, au détour d'une conversation avec Cécile, on s'est rendu compte, enfin plutôt, elle a avoué qu'elle n'avait personne à qui parler en direct dans son coin. Pas une pote, personne avec qui dire du mal des militaires du coin, rien. Pour rappel, c'est la même Cécile qui s'amusait ici même à poster des pitites annonces pour essayer de me faire rencontrer des gens dehors. La même aussi qui m'a imposé (si si) dans mes résolutions de nouvel an, de rencontrer au moins un gens de Bruxelles en 2008. Résolution que j'ai d'ailleurs tenue (coucou Marina et Agota) et que je m'en porte pas plus mal.
Alors voilà, je trouve ça un peu gonflé de réclamer aux autres de lacher un peu leur peau d'ours (sans le tuer, de préférence) alors qu'elle s'enferme dans sa grotte. Bon, ok, elle a une grotte toute neuve à aménager, elle s'amuse à d&co, tout ça, d'accord. Mais n'empêche qu'elle a personne avec qui baver sur ses feignasses de momes, avec qui faire une pétanque ou un macramé. En vrai hein. Parce que bon, le téléphone ou le web, c'est bien beau, mais ça ralentit fortement la production du macramé breton.
Donc voilà, toi ami lecteur, si tu habites en Bretagne, si t'as envie d'une nouvelle amie, n'hésite pas à aller lui causer. Tu verras, elle est gentille, elle aime le café. Elle peut te montrer la statue d'un pape mort, ou te raconter sa folle jeunesse avec Phil Barney. Elle peut même te montrer les macramés en terre qu'elle sculpte. Et je suis sûr qu'elle ne te jugera pas quand tu lui raconteras ta passion de la discussion avec les arbres. Accessoirement, ça te fera toujours quelqu'un de bien à aller voir et j'aurai gagné mon pari.