3 janvier 2008
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16:22
Je vais vous parler d'une conne que les moins de 20 notes ne peuvent pas connaitre. Pour les deux , trois qui ont beaucoup trop de temps à perdre en passant sur mon blog depuis bien trop longtemps, madame Nasco est de retour. Je me croyais tout à fait débarassé de la harpye harpie. Elle s'était même fait offrir des vacances à l'autre bout du monde aux frais de son projet, mais non, ce n'etait pas suffisant. Fallait encore qu'elle arrive en face de mon bureau.
Bientôt un an que j'étais débarrassé. Bon, pas totalement non plus, c'est pas comme si elle avait changé d'entreprise. Mais elle pouvait trainer sa bêtise ailleurs, je pouvais l'ignorer en paix. Mais les grosses entreprises sont joueuses, et comme dans toute grosse entreprise qui se respecte, ici ne faillit pas à la règle. On a donc récemment joué à un jeu très en vogue dans les grosses boites: le déménagement. Régulièrement, sans doute quand on a un budget à perdre, l'entreprise décide que ce serait plus mieux super chouette si l'équipe du projet toto (en informatique, il y a beaucoup de projets toto) n'occupait plus les 3 bureaux du 2eme, mais plutot un bureau et demi au troisième. Vachement super. Les vraies raisons restent obscures mais le besoin est impérieux.
C'est comme ça que je me retrouve avec madame Nasco de l'autre côté du couloir. J'étais venu reprendre le rythme du bureau ce matin, légèrement comateux et désireux de le rester jusqu'au week-end. Eh ben non. Elle a commencé par venir vérifier le merdier qu'elle a pu laisser dans nos armoires. Elle a taxé une alimentation d'ordinateur portable, vu qu'elle a oublié la sienne. Et depuis, je l'entends. Entre les racontages de vacances et ses inepties habituelles, je suis pris par une crispation soudaine à chaque éclat de voix qui me donne un soudain réflexe de serrage de poing. L'année de bureau commence pas bien.
Bientôt un an que j'étais débarrassé. Bon, pas totalement non plus, c'est pas comme si elle avait changé d'entreprise. Mais elle pouvait trainer sa bêtise ailleurs, je pouvais l'ignorer en paix. Mais les grosses entreprises sont joueuses, et comme dans toute grosse entreprise qui se respecte, ici ne faillit pas à la règle. On a donc récemment joué à un jeu très en vogue dans les grosses boites: le déménagement. Régulièrement, sans doute quand on a un budget à perdre, l'entreprise décide que ce serait plus mieux super chouette si l'équipe du projet toto (en informatique, il y a beaucoup de projets toto) n'occupait plus les 3 bureaux du 2eme, mais plutot un bureau et demi au troisième. Vachement super. Les vraies raisons restent obscures mais le besoin est impérieux.
C'est comme ça que je me retrouve avec madame Nasco de l'autre côté du couloir. J'étais venu reprendre le rythme du bureau ce matin, légèrement comateux et désireux de le rester jusqu'au week-end. Eh ben non. Elle a commencé par venir vérifier le merdier qu'elle a pu laisser dans nos armoires. Elle a taxé une alimentation d'ordinateur portable, vu qu'elle a oublié la sienne. Et depuis, je l'entends. Entre les racontages de vacances et ses inepties habituelles, je suis pris par une crispation soudaine à chaque éclat de voix qui me donne un soudain réflexe de serrage de poing. L'année de bureau commence pas bien.